19 avril 2009
Effroyables jardins.
Au final,
ces pensées me laisse un sentiment de clown, grotesque et pathétique. A la lecture de Michel Quint j'attendris ma position envers ces parterres de quelques couleurs criardes: au delà de l' horticole formatage, du dévoiement scandaleux
de leurs organes sexuels - aux plantes - , du manque d'imagination pour
qui sait la diversité des formes et couleurs déjà disponibles à moindre
frais, ne peut-on pas, ne doit-on pas considérer ce manque de pudeur comme une posture de clown qui oppose son fard au dur de la vie?
Veuillez trouver ci joint un lien vers de mes photos de massifs burlesques: http://arnauddes.multiply.com/photos/album/5/Massifs_by_night
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